toutetrien59
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 |  Sujet: RELAIS DE LA FLAMME OLYMPIQUE des JO de TOKYO 2020  Lun 22 Mar - 22:59 | |
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Athènes, GRÈCE - 12 mars 2020 : L’actrice grecque Xanthi Georgiou habillée en grande prêtresse de la Grèce antique, allume la torche olympique lors de la cérémonie de la transmission de la flamme olympique pour les Jeux de Tokyo 2020.
Photo de Aris Messinis - Pool/Getty Images Europe
Dans cette deuxième partie, venez à la rencontre d'un porteur de la flamme
qui était présent lors des Jeux Olympiques de Tokyo en 1964,
et d'un agent du groupe de travail des préfectures en charge du bon déroulement des opérations.
KABAWATA Shohei, membre du gouvernement et du groupe de travail de la préfecture de Miyazaki
Kawabata Shohei travaille au gouvernement de la préfecture de Miyazaki depuis presque dix ans maintenant.
Quand il a intégré le groupe de travail du relais de la flamme,
il s’est intéressé a ce que ces prédécesseurs avaient fait pour les Jeux de Tokyo en 1964
afin de mieux comprendre ses nouvelles responsabilités.
«Chaque porteur de la flamme a sa propre histoire.
Il y aura toute sorte de gens, y compris des personnes en situations de handicap
ou qui se vouent à leurs communautés locales.
J’espère que tout le monde les acclamera.»
FUJISHIRO Junichi, responsable de la flotte automobile
Alors que le rôle de nombreux porteurs de la flamme sera limité
à la période pendant laquelle la flamme se trouvera dans leur préfecture,
Fujishiro Junichi sera présent sur les 121 jours du relais.
En tant que responsable de la coordination des 33 véhicules
et des 120 chauffeurs pendant le relais de la flamme olympique,
il est prêt pour tous les défis ou obstacles qui pourraient survenir durant le relais.
«Une fois que le projet sera accompli, je pourrai serrer le poing.»
KITA Yoshitake, marionnettiste et porteur de la flamme.
Kita Yoshitake n’était qu’un enfant
lorsque le tout premier relais de la flamme olympique a traversé le Japon en 1964.
Il se souvient l’avoir regardé avec émerveillement.
Près de 50 ans plus tard, le marionnettiste originaire de la préfecture de Ishikawa
a l’immense chance de pouvoir de nouveau participer au relais,
mais cette fois-ci en tant que porteur de la flamme.
Professionnellement, il a dédié sa vie à la popularisation
et à la transmission de l’héritage du « Fukaze no Dekumawashi »,
un style de théâtre de marionnette japonais.
«J’étais présent lors du relais de la flamme de Tokyo 1964 et j'ai toujours rêvé d’y participer.
N’ayez pas peur des challenges et faites en sorte que vos rêves deviennent réalité.
Challenge, challenge, challenge !»
SHIJIMA Masakazu, propriétaire d’un lodge et porteur de la flamme.
En 2019, Ishijima Masakazu a quitté Higashi Izu pour reprendre le lodge de ses beaux-parents.
L’ingénieur informaticien est tombé amoureux de la région
et plus particulièrement des paysages et des sources d’eaux chaudes.
En tant que porteur de la flamme,
Masakazu souhaite créer un héritage autour de sa région
et rendre Atagawa célèbre dans le monde entier en tant que destination touristique.
«Je vais chérir chaque pas que je fais sur ces 200 mètres que je cours en hommage à ma région.»
SAKON Wataru, employé de bureau municipal de Yubari et porteur de la flamme
En tant qu’employé au bureau gouvernemental de la ville de Yubari,
Sakon Wataru est très attaché au développement durable et à la prospérité de la communauté.
Depuis qu'il travaille pour le gouvernement,
Wataru a mené des actions en faveur des jeunes, pour le bien de la ville dans son ensemble.
À travers le relais de la flamme olympique, il espère envoyer un message d'espoir à la prochaine génération.
«Je veux montrer à la prochaine génération comment nous, en tant qu’adulte,
pouvons accomplir nos rêves et affronter les défis pour façonner le futur.»
MURASHITA Koichi, employé du gouvernement et porteur de la flamme.
Murashita Koichi travaille depuis de nombreuses années à l’université Hirosaki.
Il fait partie d’un programme qui vise à améliorer le niveau de santé global de la préfecture de Aomori.
Il espère promouvoir son projet au travers du relais de la flamme.
«En prenant part à ce relais en tant que porteur de la flamme, j’espère pouvoir communiquer ma passion pour ce projet, et que ce sera l'occasion pour toutes les personnes vivant à Aomori de redoubler d’efforts et de créer une dynamique qui favoriserait notre espérance de vie.»
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